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rencontrer Megan

salut, je m'appelle Megan, j'ai 21 ans et je termine actuellement ma dernière année à l'institut technologique de la mode. en mai, je recevrai un baccalauréat ès sciences en gestion d'entreprise de mode avec des spécialisations en achat/planification et en développement de produits. le fait que ce soit la fin de mes études, du moins pour le moment, est une pensée qui me fait réfléchir sur où j'en suis aujourd'hui et pourquoi j'ai choisi cette voie.

en grandissant, j'ai toujours été une fille artistique. Je choisirais les arts et l'artisanat ou la danse plutôt que les sports et les jeux n'importe quand, n'importe quand. quand est venu le temps de choisir ce que je voulais faire comme carrière, je savais que je voulais impliquer un certain aspect de la créativité, mais à l'époque, je connaissais même mes années d'expérience en danse et mon amour pour cela n'était pas suffisant pour en faire mon carrière tout au long de la vie. J'avais besoin de trouver autre chose dans lequel j'étais doué. Je ne sais pas pour vous, mais pour moi, c'était comme m'arracher les dents. J'avais l'air médiocre dans tout ce que je faisais - comment pourrais-je choisir une carrière qui me plairait alors que je n'avais pas encore trouvé ma passion ?

après avoir fait quelques recherches dans les domaines créatifs, je suis tombée sur la mode et j'ai réalisé à quel point chaque vêtement que nous portons compte réellement. à l’âge de 13 ans, je suis instantanément devenue obsédée. J'allais à l'épicerie avec mes parents juste pour m'asseoir par terre dans l'allée cinq et lire le magazine In Style pendant qu'ils faisaient leurs courses. J'imprimais les contours des personnes et dessinais des vêtements dessus, je perçais des trous sur les côtés du papier, puis je liais les feuilles ensemble avec de la ficelle et j'appelais cela « le lookbook de Megan ». J'ai même commencé à ne plus détester les achats dans les friperies que ma mère m'obligeait à faire parce que j'ai réalisé que je pouvais trouver des vêtements que personne d'autre n'avait, les reconstruire et les m'approprier.

en vieillissant, j'ai découvert que si je voulais poursuivre une carrière dans la mode, je ne voulais pas faire du design, mais plutôt être mis au défi intellectuellement, ainsi que d'utiliser l'analyse et de résoudre des problèmes au quotidien. C'est à ce moment-là que j'ai réalisé que le secteur de la mode était l'équilibre parfait entre les deux et quel meilleur endroit que New York pour le poursuivre ?

la décision de participer au FIT a été à la fois la décision la plus difficile et la plus facile que j'ai jamais prise. cela signifiait quitter tous mes amis et ma famille dans le Maryland et déménager seule à New York en tant que jeune fille de 18 ans très timide et calme. toutes les « chutes » mises à part, je savais que cette décision changerait ma vie, je serais capable de poursuivre une carrière dans un domaine en constante évolution, glamour et créatif mais aussi innovant et fortement axé sur les affaires. maintenant, je suis plus que heureux d’avoir pris le risque. Je ne regrette pas un instant des quatre dernières années que j'ai eu le privilège de passer ici. J'ai pu m'aider à grandir en tant que personne et à élargir mes connaissances de l'industrie de la mode, ainsi qu'à adopter la créativité dans ma vie professionnelle grâce à des stages, dans ma vie sociale grâce aux voyages et aux amis créatifs (dont j'apprends tellement) et dans ma vie scolaire grâce à des cours frais et intéressants et des activités de club.

la créativité a été un guide pratique dans la vie, la clé de toutes mes meilleures décisions et la voie à suivre pour surmonter les pires. Je ne sais toujours pas quelle est ma passion précise mais je sais que j'aime la mode, je m'efforce de continuer à apprendre peu importe où se termine ma formation technique et de toujours sortir des sentiers battus.

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